La cuisson à la vapeur douce est une nouvelle façon plus moderne et plus saine de préparer de bons petits plats. Le Vitaliseur de Marion est la référence dans ce domaine et préserve les nutriments naturels des légumes, de la viande et même des fruits. L’ère du micro-ondes, de la poêle et de l’autocuiseur est-elle révolue ?

Le Vitaliseur de Marion : le champion de la vapeur douce

Ce cuit-vapeur révolutionnaire est le fruit de la collaboration entre la bionutritionniste Marion Kaplan et l’ingénieur chimiste André Cocard. Le premier Vitaliseur de Marion voit alors le jour en 1985 avec pour vocation d’offrir au grand public la possibilité de concocter des plats sains, mais savoureux. La cuisson à vapeur douce que permet le Vitaliseur de Marion se démarque de celle des autres cuiseurs. Son matériau, son architecture et la proportion bien réfléchie des compartiments et des trous du tamis visent à limiter la température de pointe à 95 °C. Ce mode de cuisson préserve les qualités nutritionnelles des aliments au maximum et élimine les toxines de manière efficace. En pratique, la vapeur douce cuit légumes et viandes à cœur. Le risque d’avoir un repas cuit à moitié est donc très faible. La chaleur provoque un effet de transpiration sur les aliments, ce qui les débarrasse de toutes leurs impuretés et des mauvaises graisses. Pour que les goûts ne se mélangent pas, le couvercle prend une forme de dôme qui va orienter l’eau en condensation le long des parois. Ces gouttelettes d’eau vont alors s’écouler au fond du tamis, évitant ainsi le lavage des aliments qui altère leur goût. Grâce à ce système unique, le temps de cuisson est radicalement réduit. Par ailleurs, le Vitaliseur de Marion permet aussi de fabriquer ses yaourts et de décongeler ses plats en douceur.

Une alternative plus saine au micro-ondes

Le micro-ondes est présent dans toutes les cuisines. Cet appareil s’utilise le plus souvent pour réchauffer rapidement la nourriture et se servir dans l’immédiat. Le principe de fonctionnement du micro-ondes se base sur le fait de générer des ondes électromagnétiques qui agissent sur les molécules d’eau, les lipides et les sucres des aliments, pour créer de la chaleur. Le principal enjeu dans l’utilisation du micro-ondes est la structure des protéines. Au passage des ondes électromagnétiques, l’agencement au niveau cellulaire est affecté et l’aliment se dégrade de façon imperceptible. Ce n’est pas le cas avec la vapeur douce qui garde intacts les nutriments, même après de longues minutes de cuisson.

Cuire à vapeur, mieux que la friture

Les fritures, les sautés de légumes ainsi que bien d’autres mets délicieux se font essentiellement grâce à la poêle. Le goût, ici, est pourtant privilégié au détriment de la qualité de l’aliment. L’utilisation incontournable d’huiles de cuisson augmente le taux d’acides gras contenus dans le plat. D’un point de vue diététique, il est préférable d’éviter certaines huiles telles que l’huile de colza ou l’huile de soja, surtout si la température excède les 200 °C. À ce stade, des hydrocarbures voire des goudrons peuvent se former. Ces substances sont nocives pour l’organisme, même à faible quantité. D’autre part, un cuiseur de type Vitaliseur de Marion maintient la vapeur et régule la température lors de la cuisson pour rester en dessous de 100 °C.

Vapeur douce et vapeur dure : quelles différences ?

La vapeur dure ou encore cuisson sous pression est caractéristique des autocuiseurs. Une fois sur le feu, ces cuiseurs font grimper la température jusqu’à 120 °C en plus de la vapeur sous pression. L’avantage principal est de pouvoir cuire son poulet entier ou son gros rôti de porc en un temps record. Cependant, les nutriments et les vitamines sont presque tous perdus au cours de la cuisson. Pour bénéficier de l’apport nutritionnel complet des aliments et préserver leur goût naturel, il est donc préférable d’opter pour la cuisson à la vapeur douce.

Crédit Photos: Vitaliseur de Marion – Unsplash